Le processus de reorganisation sociétale en Roumanie, régi par la loi des sociétés n° 31/1990 et la législation connexe (comme la loi n° 265/2022 relative au registre du commerce et pour la modification et le complément d’autres actes normatifs affectant l’enregistrement au registre du commerce, ainsi que la loi n° 222/2023 modifiant et complétant la loi des sociétés n° 31/1990 et la loi n° 265/2022), représente un instrument essentiel pour adapter et consolider les structures corporatives. Ces mécanismes juridiques, tels que fusions en Roumanie, fusion d’entreprises, modifier l’activité de l’entreprise en Roumanie, modifier les statuts en Roumanie, permettent l’optimisation de l’activité, la restructuration du capital social en Roumanie et la valorisation de la collaboration entre entités. D’un point de vue normatif, la réorganisation implique le respect de conditions strictes concernant la protection des créanciers, la transparence du processus décisionnel et l’approbation par les assemblées générales des associés, conformément aux dispositions de la loi des sociétés et aux règlements européens applicables.

Dans le cas d’un projet de fusion en Roumanie entre deux sociétés, la complexité augmente significativement, car l’opération suppose l’application cumulée des normes internes et de celles européennes concernant la liberté d’établissement et la mobilité des sociétés commerciales. Les autorités, en particulier l’Office du registre du commerce, jouent un rôle essentiel dans la vérification de la légalité des documents, l’émission des certificats préalables et l’assurance de la transparence de la procédure. Par ailleurs, un projet de fusion en Roumanie transfrontalière doit prévoir en détail les éléments juridiques, économiques et techniques de l’opération, et les sociétés impliquées ont l’obligation d’informer correctement les actionnaires et les créanciers, assurant l’équilibre entre les intérêts de toutes les parties concernées.

Un autre élément clé dans le succès d’une stratégie de fusion en Roumanie ou d’une restructuration d’entreprise efficace est la préparation juridique et stratégique préalable, matérialisée par un accord d’association et un processus rigoureux de due diligence. Ces étapes préliminaires offrent la sécurité que la décision de fusions en Roumanie ou fusion par absorption est fondée sur une évaluation réaliste des risques, des passifs et des opportunités, tout en permettant de modifier l’activité de l’entreprise en Roumanie et d’adapter le capital social en Roumanie selon les objectifs économiques. Dans le contexte économique actuel, où une scission partielle ou scission totale, ou une division sociétale, peut constituer une alternative de protection ou d’efficacité, le choix de la forme juridique appropriée de réorganisation devient une décision stratégique de gestion, qui doit être mise en œuvre sous la direction d’un avocat spécialisé ou projet de fusion en Roumanie.

Dans ce contexte, la Société Roumaine d’Avocature Pavel, Mărgărit et Associés peut vous assister dans la gestion de toutes les étapes concernant la reorganisation sociétale, stratégie de fusion en Roumanie, fusions en Roumanie, fusions et acquisitions en Roumanie, fusion par absorption ou fusion entre deux sociétés, modifier l’activité de l’entreprise en Roumanie, modifier les statuts en Roumanie, y compris dans l’élaboration et le dépôt du projet de fusion en Roumanie, la rédaction et la vérification d’un accord d’association, ainsi que dans les procédures d’enregistrement auprès de l’Office du Registre du Commerce et la structuration du capital social en Roumanie. Notre équipe offre une consultation juridique et fiscale complète afin que toute opération de diviser société ou scission partielle soit réalisée conformément à la loi, pour que le processus de reorganisation sociétale soit efficient et sans risques juridiques ou fiscaux supplémentaires.

En Roumanie, la reorganisation sociétale des sociétés commerciales, incluant les opérations de fusions et acquisitions en Roumanie telles que fusions en Roumanie, s’appuie sur les dispositions de la loi des sociétés n° 31/1990, republiée et amendée périodiquement. Cette loi établit les principes fondamentaux qui régissent les transformations structurelles des sociétés, parmi lesquels les critères de protection des créanciers, les droits des associés et les procédures décisionnelles internes. Par exemple, l’article 243 prévoit des mesures selon lesquelles les créanciers doivent avoir la possibilité de formuler opposition ou de demander garanties durant le processus de reorganisation sociétale, et les associés doivent être informés en détail des conséquences juridiques et financières de l’opération. De plus, les modifications récentes introduites par la loi n° 222/2023 ont étendu les compétences de la loi des sociétés et ont introduit le concept de projet de fusion en Roumanie et de modifier les statuts en Roumanie dans un contexte transfrontalière, reflétant les nouvelles réalités européennes dans le domaine de la réorganisation.

Une loi importante connexe est la loi 265/2022 concernant le Registre du Commerce, qui modifie les modalités d’enregistrement et de publicité des actes sociétaires, y compris dans le cadre des opérations de reorganisation sociétale. Cette loi institue que le registre (Office National du Registre du Commerce et ses bureaux locaux) effectuera un contrôle de légalité sur les documents déposés et pourra être saisi en cas d’irrégularités. En outre, la loi 222/2023 modifie les dispositions de la loi 265/2022 afin d’adapter le système de registre en vue de l’interconnexion des registres du commerce des États membres et de faciliter l’échange de documents et d’informations pour les opérations de projet de fusion en Roumanie transfrontalière. Ainsi, la réorganisation des sociétés au niveau national ou international doit respecter à la fois la loi des sociétés et la loi 265/2022.

Dans le processus de reorganisation sociétale, les sociétés disposent d’options entre divers instruments juridiques: fusions en Roumanie, fusion par absorption, fusion entre deux sociétés. La législation détaille chacune de ces opérations: conditions de majorité pour les décisions, délais de publicité, droits de retrait ou d’opposition des associés, modalités de répartition du capital social en Roumanie, des patrimoines et des passifs, et garanties à offrir aux créanciers. L’introduction explicite dans la loi des sociétés des options de projet de fusion en Roumanie et de modifier l’activité de l’entreprise en Roumanie transfrontalier (par la loi 222/2023) démontre l’adaptation du cadre légal roumain aux réalités européennes concernant la mobilité des sociétés et les réorganisations de grande échelle.

Étapes d’un projet de fusion transfrontalier entre deux sociétés

Un projet de fusion en Roumanie transfrontalière entre deux sociétés est une procédure juridique complexe, qui suppose l’harmonisation de la législation nationale avec les normes de l’Union européenne en matière de mobilité des sociétés commerciales. Dans la première étape, les sociétés impliquées doivent élaborer un projet de fusion en Roumanie détaillé, lequel doit contenir les éléments obligatoires prévus par la loi des sociétés: la dénomination, la forme juridique, le siège social, la valeur du capital social en Roumanie, la structure de l’actionnariat, les modalités de répartition des actions, ainsi que l’évaluation des actifs et passifs transférés. Le document doit être rédigé en forme authentique et approuvé par les organes de direction de chaque entité participante, puis présenté aux assemblées générales extraordinaires. Cette étape est essentielle pour la fondation juridique et économique du processus de reorganisation sociétale, car elle détermine comment les patrimoines des sociétés seront unis ou transmis.

La deuxième étape concerne l’assurance de transparence et la protection des intérêts des créanciers et des tiers. Conformément aux dispositions de la loi des sociétés, complétées par les lois 265/2022 et 222/2023, un projet de fusion en Roumanie doit être publié soit sur le site internet des sociétés, soit dans le Journal Officiel, au moins 30 jours avant la date de l’assemblée générale qui approuvera la fusion. Chaque société a également l’obligation de notifier les autorités compétentes et de déposer à l’Office du Registre du Commerce les documents justificatifs, y compris les rapports des administrateurs, les expertises indépendantes et les états financiers. Dans cette phase, les autorités vérifient la légalité de l’opération et peuvent exiger des compléments ou des clarifications, tandis que les créanciers peuvent formuler opposition dans les délais fixés par la loi, en demandant des garanties pour protéger leurs droits.

L’étape finale est celle de l’enregistrement effectif de l’opération de fusion entre deux sociétés auprès de l’Office du Registre du Commerce, moment où la reorganisation sociétale devient opposable aux tiers et produit des effets juridiques. Selon la modalité choisie — fusion par absorption ou fusion entre deux sociétés — les statuts de la société absorbante ou de la nouvelle entité sont modifiés en conséquence et enregistrés, et les sociétés absorbées sont radiées. Les effets de la fusion prennent généralement effet à la date de l’enregistrement, bien que les parties puissent en convenir autrement dans les limites imposées par la législation. Tout au long de la procédure, les principes de transparence, légalité et de protection des créanciers demeurent fondamentaux, garantissant que ce projet de fusion en Roumanie, ou toute opération de fusions en Roumanie, se déroule conformément aux normes de droit interne et européen.

Fusion par absorption ou fusion classique: Différences juridiques essentielles

Dans le cadre des opérations de reorganisation sociétale, la législation roumaine prévoit deux formes principales de fusions et acquisitions en Roumanie: la fusion par absorption et la fusion entre deux sociétés donnant naissance à une nouvelle entité. Dans une fusion par absorption, une société reprend l’intégralité de l’actif et du passif d’une autre, laquelle est ensuite dissoute conformément à la loi des sociétés. La société absorbante modifie alors ses statuts pour refléter les nouveaux éléments structurels tels que le capital social en Roumanie, la composition de l’actionnariat, l’objet social et les droits préférentiels éventuels. Elle devient ainsi le successeur universel de tous les droits et obligations de la société absorbée. Ce type de restructuration d’entreprise est souvent privilégié pour sa praticité, son coût réduit et son efficacité, notamment lors de consolidations intragroupes, de réorganisations post-acquisition ou d’opérations d’optimisation conduites par un avocat spécialisé en fusions et acquisitions.

À l’inverse, une fusion par création d’une nouvelle société implique la dissolution simultanée des sociétés participantes et la constitution d’une entité juridique totalement nouvelle qui hérite de la totalité des actifs des entités d’origine. Cette procédure est plus complexe, exigeant des formalités supplémentaires, y compris l’élaboration d’un projet de scission transfrontalière si l’une des sociétés est établie dans un autre État membre de l’UE. Cette forme de restructuration d’entreprise est particulièrement fréquente lorsque l’objectif est une réorganisation stratégique à l’échelle internationale, une adaptation aux réglementations de concurrence ou une harmonisation des régimes fiscaux entre juridictions. Bien que plus onéreuse et plus longue, cette fusion offre des avantages structurels notables pour le développement corporatif futur, surtout lorsqu’elle est supervisée par un avocat spécialisé dans les fusions et acquisitions en Roumanie et les opérations transfrontalier.

D’un point de vue juridique, les différences entre fusion par absorption et fusion classique concernent principalement le moment de la production des effets juridiques et les obligations de notification. Les effets d’une fusion se produisent généralement à la date de l’enregistrement au Registre du Commerce, marquant le transfert universel des actifs et des passifs. En outre, les procédures de publication, les délais d’opposition des créanciers et les obligations de déclaration auprès des autorités fiscales (notamment l’ANAF) sont strictement réglementés. La loi des sociétés, telle que modifiée par la loi n° 265/2022, clarifie des aspects essentiels tels que la protection des salariés, les droits des actionnaires minoritaires et la date d’effet de la reorganisation sociétale, en particulier dans les cas impliquant un projet de scission transfrontalière ou une fusion. Alors, le choix entre une fusion par absorption et une fusion classique dépend des objectifs économiques, de la structure juridique existante et du cadre réglementaire applicable à chaque transaction.

Le Cabinet d’avocats roumain Pavel, Mărgărit & Associés fournit une assistance juridique complète à toutes les étapes des opérations de restructuration d’entreprise, qu’il s’agisse de fusion, fusion par absorption, ainsi que pour la rédaction et la vérification des accords d’association nécessaires, procédures de modifier l’activité de l’entreprise en Roumanie, modifier les statuts en Roumanie, la gestion du capital social en Roumanie, et la mise en œuvre d’une stratégie de fusion en Roumanie adaptée aux objectifs économiques et juridiques de chaque société.

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Procédure d’enregistrement au Registre du Commerce roumain en cas de fusion

La procédure d’enregistrement d’une fusion auprès du Registre du Commerce roumain constitue l’étape finale du processus de reorganisation sociétale et joue un rôle crucial dans la production des effets juridiques. Conformément à l’article 242 de la loi des sociétés, le processus débute par le dépôt du projet de fusion signé par les représentants légaux des sociétés participantes, accompagné des documents justificatifs tels que les déclarations d’extinction des dettes, les rapports de gestion, les expertises indépendantes (le cas échéant), les états financiers de fusion et la preuve de la publication du projet. Ces documents sont déposés auprès du bureau compétent du Registre du Commerce où les sociétés sont immatriculées, l’objectif principal étant de vérifier la conformité et la légalité de l’ensemble du processus de fusions et acquisitions en Roumanie, afin que les droits des tiers soient pleinement respectés.

Une fois le contrôle de légalité effectué, le Registre du Commerce procède à la publication du projet de fusion au Journal Officiel de Roumanie, partie IV, ou sur les sites internet des sociétés concernées, selon la méthode choisie et les dispositions légales. La publication doit intervenir au moins 30 jours avant la tenue de l’assemblée générale extraordinaire qui approuvera la fusion ou le projet de spin-off. Durant cette période de transparence, les créanciers peuvent formuler des oppositions, et les sociétés peuvent offrir des garanties pour le règlement des obligations impayées. Cette phase publique est essentielle pour assurer la sécurité juridique et constitue une condition de validité pour la fusion, la scission ou toute forme de restructuration d’entreprise.

Après approbation par les assemblées générales et adoption des statuts modifiés, les sociétés déposent la demande d’enregistrement définitive, accompagnée des documents requis: décisions des associés, statuts mis à jour, états financiers finaux, preuve du paiement des taxes et, le cas échéant, le certificat préalable délivré pour une scission transfrontalière ou un projet de spin off. Après vérification complète, le Registre du Commerce procède à l’enregistrement de la fusion, met à jour les données de la société absorbante et radie la société absorbée. Dans les opérations de fusions et acquisitions en Roumanie comportant une composante transfrontalier, le greffier peut exiger des documents supplémentaires relatifs à la création de la nouvelle société.

Pour les opérations transfrontaliers, les autorités conservent le droit de refuser la délivrance du certificat préalable en cas de suspicion de fraude, d’abus de droit ou d’évasion fiscale. Cela garantit le respect strict de la loi des sociétés et la protection de l’intégrité du milieu des affaires. Dans certains cas, il peut être nécessaire de modifier l’activité de l’entreprise en Roumanie, modifier les statuts en Roumanie ou encore d’adopter une stratégie de fusion en Roumanie, afin de répondre aux exigences locales et transfrontalières. Par conséquent, une reorganisation sociétale bien conduite, accompagnée par un avocat spécialisé en fusions et acquisitions qualifié, assure que chaque fusion, scission partielle ou scission totale soit exécutée en conformité totale avec la législation, tout en atteignant l’efficacité opérationnelle et la conformité réglementaire.

Division de société et division partielle: alternatives à la fusion

La division de société représente une opération de restructuration juridique alternative aux fusions en Roumanie, régie par la loi des sociétés, par laquelle le patrimoine d’une entreprise est réparti et transféré, en totalité ou en partie, à une ou plusieurs sociétés existantes ou nouvellement créées. Dans le cas d’une division totale, la société initiale cesse d’exister, tandis que la totalité de ses droits et obligations est transférée de manière universelle aux entités bénéficiaires. En revanche, dans le cas d’une division partielle, seule une partie du patrimoine — par exemple une ligne d’activité, une unité de production ou un ensemble d’actifs — est transférée, la société d’origine poursuivant son activité. Ces opérations constituent souvent une stratégie de fusion en Roumanie utilisée pour modifier l’activité de l’entreprise en Roumanie et réorganiser ses actifs sans procéder à une dissolution complète.

La procédure de division de société est strictement encadrée et impose l’élaboration d’un projet de fusion en Roumanie ou de division signé par les représentants légaux. Ce document doit être déposé au Registre du Commerce et publié au Journal Officiel ou sur le site web de la société au moins 30 jours avant la tenue de l’assemblée générale extraordinaire qui statuera sur l’opération. Cette période de transparence permet aux créanciers de formuler une opposition si la réorganisation risque d’affecter leurs droits. Le projet de fusion en Roumanie ou de division doit contenir la répartition des actifs et passifs, le rapport d’évaluation, et les modalités d’attribution des parts sociales ou actions. Dans le cas d’une division partielle, ces dispositions s’appliquent proportionnellement, les statuts des sociétés impliquées devant être modifiés conformément à la législation sur les fusions et acquisitions en Roumanie.

Les avantages d’une division de société ou division partielle sont multiples: elles permettent de modifier l’activité de l’entreprise en Roumanie, de séparer les lignes d’affaires à risque, d’optimiser la structure fiscale et de gérer plus efficacement le capital social en Roumanie. Ces opérations favorisent également l’entrée d’investisseurs stratégiques sans nécessiter une fusion complète. Toutefois, elles exigent une analyse juridique et comptable approfondie, garantissant la protection des créanciers et la conformité légale. La loi des sociétés, combinée aux dispositions de la Loi n° 265/2022, assure des garanties de transparence et de sécurité juridique pour toute stratégie de fusion en Roumanie ou de fusions en Roumanie, qu’il s’agisse d’une division partielle ou totale. L’objectif principal est d’encourager la mobilité et la flexibilité des entreprises tout en protégeant les intérêts financiers et économiques des parties prenantes.

Accord d’association et due diligence dans les opérations de fusion

Dans la phase préparatoire de toute opération de fusions et acquisitions en Roumanie, les parties peuvent conclure un accord d’association ou un protocole d’entente qui fixe le cadre des négociations, les délais, les conditions suspensives ainsi que les droits et obligations provisoires. Cet accord constitue un instrument juridique essentiel dans toute stratégie de fusion en Roumanie, assurant une organisation claire et structurée du processus avant le dépôt du projet de fusion en Roumanie au Registre du Commerce. Il garantit la stabilité des engagements pris et permet de modifier les statuts en Roumanie de manière conforme et planifiée, sous la supervision d’un avocat en droit des affaires spécialisé dans les fusions en Roumanie.

Un élément central du processus de due diligence consiste en une évaluation détaillée des actifs, passifs, contrats en cours, litiges, obligations fiscales et conformité réglementaire de chaque société impliquée. Cette analyse approfondie assure que toute stratégie de fusion en Roumanie, qu’il s’agisse d’une fusion par absorption, d’une fusion transfrontalière ou d’une division partielle, repose sur des données précises et fiables. Le due diligence permet aussi de modifier l’activité de l’entreprise en Roumanie de façon sécurisée, d’ajuster le projet de fusion en Roumanie en fonction des risques identifiés et d’informer correctement les actionnaires et les créanciers. Il constitue ainsi une garantie de transparence et de sécurité juridique dans les fusions et acquisitions en Roumanie.

Dans un contexte transfrontalier, le processus de due diligence doit également couvrir les réglementations fiscales et commerciales du pays partenaire, les risques de change, la protection des données et les droits des employés. Un accord d’association peut inclure des clauses de sortie, des pénalités contractuelles et des mécanismes de règlement des différends, renforçant ainsi la solidité de la stratégie de fusion en Roumanie. Ce dispositif combiné entre accord d’association et due diligence constitue la base d’une restructuration sûre, conforme et durable, tout en permettant de modifier les statuts en Roumanie conformément à la législation et de gérer efficacement le capital social en Roumanie.

Ainsi, les opérations de fusions et acquisitions en Roumanie, qu’il s’agisse de fusion, fusion par absorption, division partielle ou division totale, sont des outils juridiques complexes mais essentiels pour modifier l’activité de l’entreprise en Roumanie et renforcer sa compétitivité.. Dans le contexte de l’intégration économique européenne, chaque projet de fusion en Roumanie ou stratégie de fusion en Roumanie représente une opportunité d’optimisation et de croissance durable. En combinant une analyse juridique approfondie, une due diligence complète et un accompagnement professionnel pour modifier les statuts en Roumanie, les entreprises peuvent restructurer leur capital social en Roumanie en toute sécurité. Le succès d’une reorganisation sociétale dépend donc de la synergie entre la stratégie, la conformité légale et la compétence du conseil juridique, garantissant que toutes les fusions en Roumanie soient exécutées dans le respect des normes européennes et des intérêts économiques des sociétés impliquées.

Le cabinet d’avocats roumain Pavel Mărgărit and Associates a pour clients des entreprises étrangères, des sociétés locales de premier plan et des particuliers à haut revenu. En 2025, les succès du cabinet d’avocats roumain ont été reconnus par les guides et publications internationaux les plus prestigieux. Le cabinet a été classé troisième en Roumanie par la publication Legal 500. Le cabinet d’avocats roumain est également reconnu par le guide financier et corporatif IFLR 1000 2025. Le cabinet d’avocats roumain Pavel, Margarit & Associates est également le seul cabinet d’avocats en Roumanie recommandé par le Directeur de Global Law Experts à Londres dans le domaine du règlement des litiges. Toutes les informations pertinentes concernant le cabinet d’avocats roumain Pavel, Margarit & Associates sont disponibles sur le site web www.avocatpavel.fr.