La loi roumaine n. 298/2023 pour la modification de la loi roumaine n. 272/2004 sur la protection et la promotion des droits de l’enfant
À la demande de l’enfant, exprimée après avoir acquis la pleine capacité d’exercice, s’il ne poursuit ses études qu’une seule fois dans chaque forme d’éducation prévue par la loi, une protection spéciale est accordée, conformément à la loi, tout au long des études, mais ne dépassant pas l’âge de 26 ans.
Les enfants pour lesquels une mesure de protection spéciale a été établie ont le droit, en quittant le système de protection spéciale, indépendamment du moment où ils quittent, y compris s’ils ont choisi de le maintenir dans les conditions, à une allocation de temps unique, dont le montant est trois fois le montant du salaire de base brut minimum garanti par pays, établi conformément à la loi.
La décision roumaine n° 15/2023 de la Haute Cour de Cassation et de Justice relative au Dossier n° 1.459/1/2023 ayant pour objet le pourvoi dans l’intérêt de la loi formulée par le Procureur général du Parquet rattaché à la Haute Cour de Cassation et de Justice, visant une question juridique
Le pourvoi dans l’intérêt de la loi formulée par le Procureur général du Parquet général auprès de la Haute Cour de cassation et de justice a été soutenu que, dans la pratique judiciaire nationale, il n’y a pas de point de vue unitaire sur la structure du crime de contrebande assimilé prévu par l’art. 270 para. (3) de la loi roumaine no. 86/2006 sur le code des douanes roumain, respectivement sa relation avec le crime prévu par l’art. 452 para. (1) lettre h) de la loi roumaine no 227/2015 sur le code fiscal et le crime prévu par l’art. 270 par. (1) du Code pénal roumain, avec plusieurs directives jurisprudentielles.
Dans ce contexte juridique, les tribunaux, notifiés par les actes d’accusation ou par des demandes de constatation de l’intervention d’une loi de décriminalisation, selon la procédure prévue par l’art. 595 du Code de procédure pénale roumain, avec des faits consistant en la possession ou la commercialisation de plus de 10000 cigarettes non marquées, mal marquées ou avec de fausses inscriptions, sachant qu’elles proviennent de la contrebande, initialement classé dans le crime de contrebande assimilé prévu par l’art. 270 par. (3) de la loi roumaine no 86/2006 sur le code des douanes, compte tenu des dispositions impératives de l’art. 3 par. (2) de la loi roumaine n° 187/2012 pour l’application de la loi n° 286/2009 sur le code pénal roumain, elle doit déterminer si l’acte dont ils ont été notifiés a été dépénalisé ou s’il est criminalisé par une autre loi en vigueur, même sous un autre nom.
La Cour constitutionnelle roumaine a établi par la décision no 176 du 24 mars 2022, publiée au Journal officiel de la Roumanie, partie I, no 451 du 5 mai 2022, que les dispositions de l’art. 270, paragraphe 3 de la loi roumaine no. 86/2006 sur le code des douanes roumains sont inconstitutionnelles, en substance, pour ne pas établir un seuil de valeur/tant que les faits assimilés à la contrebande sous lesquels les actes incriminés par l’article mentionné ne constituent pas une infraction.
Dans le cas du crime prévu à l’art. 270 par. (3) de la loi roumaine no. 86/2006 sur le code des douanes roumain, il y a un objectif spécifique, à savoir l’évasion du paiement des impôts dus à l’État. Les dispositions de l’art. 270 para. (3) de la loi roumaine no 86/2006 sur le code des douanes roumain, jugée inconstitutionnelle par la décision no 176/2022, ils ont sanctionné le contournement du paiement des impôts et des droits dus au budget de l’État. Ou, la criminalisation de la forme spéciale d’évasion fiscale prévue par l’art. 452 para. (1) lettre h) de la loi roumaine n° 227/2015 sur le code fiscal roumain protège les relations sociales similaires, respectivement les relations sociales concernant l’accomplissement des obligations fiscales par rapport à certains biens et d’une certaine quantité, les conditions dans lesquelles il apparaît comme une norme particulière en ce qui concerne le crime de dissimulation, prévu par l’art. 270 du Code pénal roumain, qui ne défend que les relations adjacentes/secondaires de propriété, son objet juridique particulier étant donné par les relations concernant l’administration de la justice pénale.
Ainsi, le recours dans l’intérêt de la loi formulée par le Procureur général du Bureau du Procureur rattaché à la Haute Cour de Cassation et de Justice est admis.