Ordonnance d’urgence roumaine n° 108/2023 modifiant et complétant la loi roumaine sur la concurrence n° 21/1996, ainsi que d’autres actes normatifs
Dans l’exercice des pouvoirs prévus par la présente loi, le Conseil de la concurrence veille au respect des garanties adéquates en matière de droits de défense des entreprises, y compris le droit d’être entendu et le droit à un recours effectif devant les tribunaux.
Toute action ou inaction des autorités, institutions et entités de l’administration publique centrale ou locale auxquelles elles délèguent leurs fonctions, qui restreint, empêche ou fausse la concurrence, par exemple :
a) la limitation de la liberté des échanges ou de l’autonomie des entreprises exercées dans le respect des dispositions légales;
b) l’établissement de conditions discriminatoires pour l’activité des entreprises.
sont interdits.
Loi roumaine no. 362/2023 modifiant et complétant la loi roumaine no. 254/2013 sur l’exécution des peines et des mesures privatives de liberté ordonnées par les organes judiciaires au cours du procès pénal
Aux fins de la réinsertion sociale des personnes condamnées, l’administration nationale des pénitenciers, en collaboration avec d’autres autorités ou institutions publiques ou d’autres entités juridiques de droit public, des organisations gouvernementales et non gouvernementales, des programmes d’intérêt national, approuvés par décision du gouvernement, destinés à faciliter l’accès des personnes condamnées aux services éducatifs, psychologiques et sociaux.
Les normes techniques et méthodologiques pour la mise en œuvre de programmes d’intérêt national aux fins de la réinsertion sociale des personnes condamnées sont approuvées par arrêté du ministre de la justice, qui est publié dans le Journal officiel de la Roumanie, Partie I. Si la mise en œuvre de programmes d’intérêt national aux fins de la réinsertion sociale des personnes condamnées implique également les compétences d’organes spécialisés de l’administration publique centrale, les normes techniques et méthodologiques sont approuvées par ordre commun du ministre de la justice et des responsables de ces organes.